Anna Gavalda, La Consolante, une histoire de maturité, de changement, sur fond de réflexion sur l'architecture. Le style de Gavalda, haché, trépidant mais qui laisse une impression de bonheur. A feel good book.
Une autre série policière scandinave: Camilla Lackberg, un autre climat, des retours historiques.
Un deuxième policier islandais, le même auteur, une histoire infiniment triste.
Je viens de finir l'Histoire de Pi. Un peu déçue.
Je suis tombée dans Donna Leone... dur à avaler, dur à lâcher. Venise, côté sombre.
Mange, prie, aime, Élizabeth Gilbert. D'habitude je n'aime pas les best-sellers... mais je dois reconnaître que j'aime celui-ci. Et quelque part je me reconnais dans cette femme qui quitte tout (avec salaire)... Un roman de remise en question, si on ne se limite pas à lire l'histoire pour l'histoire. À méditer sérieusement.
Un autre policier, islandais cette fois, La Cité des jarres de Arnaldur Indridason: polar sur base d'analyse sociologique d'une petite société refermée sur elle-même dans un temps automnal de brumes et bruines... glaçant.
Millénium, Les 3 volumes. Une drogue qui vous laisse en manque à la fin des 3 briques. Un livre actuel qui parle de hackers et du capitalisme débridé.
Richard Sennett, La culture du nouveau capitalisme, un ouvrage court très mal traduit pour comprendre ce qui se passe sur cette planète.
La femme qui attendait, d’Andreï Makine sans doute pour rester un peu dans l’ambiance du Québec. À ne pas lire quand l’hiver ou le manque d’amour est trop lourd.
La sœur de judith de Lise Tremblay chez Boréal: Chicoutimi des années 1960. Pas vraiment d'histoire, une ambiance prenante, le temps qui passe et qui change tout inexorablement mais par très petites touches.
La vie avant l'homme de Margaret Atwood chez Quinze: à vous décourager à tout jamais de la vie de couple. Livre écrit en 1979 mais qui n'a pas pris une ride
Les rives prochaines de Gilles Archambault chez Boréal Le Libraire
Ourse bleue de Virginia Pésémapéo Bordeleau aux Éditions Pleine Lune, Le Devoir
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