vendredi 21 mars 2008


Il pleut sur Bordeaux, giboulées de mars. Si la grisaille m’attriste, que je tourne en ovale dans 28 mètres carrés et que l’humidité fait grincer mes articulations, je ne me plains pas trop, c’est sans doute mieux que de pelleter à Québec.

Pourquoi ne peut-on pas éviter à nos enfants les peines par lesquelles nous sommes passés ? Comment les prévenir qu’ils foncent dans un mur sans interférer dans leur vie, comment transférer l’expérience sans en parler, sans même que l’autre le sache ?

Un sourire… J’ai découvert par hasard sur Facebook ce merveilleux parcours de la procrastination, retrouvé à de nombreux endroits sur le web.
Allez-y, faites-vous plaisir, ça vous déculpabilisera. Comme quoi, même si on se pense seule… il y en a beaucoup d’autres qui se sentent comme nous. C’est un des avantages d’Internet : même si on se sent unique et super-tordue donc abandonnée et mal-aimée, mais non, il y en a d’autres comme nous, c’est infiniment rassurant. Plus jamais seule.
Il en existe une traduction allemande, mais je n’en ai pas trouvé de française.

La pensée écologique de la journée, Équiterre a mis sur son site un calculateur de transport, le calcul est fait en dollars mais aussi en tonnes de carbone. Intéressant.

Et joyeuses pâques!